Rapport de Votre ‘Insider’ Olympiques – le 22 février

Il semble que l’Insider n’a pas eu toute l’histoire sur le voyage de Pat Bernard et Lucille O’Connor’s à Whistler, samedi. Les mères de Team Canada, Pat, bien sûr, est la mère de Cheryl tandis que vous avez probablement deviné que Lucille est la mère de Susan; elles ont entrepris un voyage vers Whistler sur le train spécial loué par le gouvernement de l’Alberta qui part de Vancouver tous les matins à 6h00 et vient rechercher les gens pour Vancouver à 9h00, le soir. Dans tous les cas, durant un beau séjour à la montage, Pat et Lucille ont décidé de se rendre en haut de la montagne de Whistler. Ils ont pris le téléphérique pour monter et en ont pris un autre pour aller d’un Peak à l’autre Peak qui amène les gens du haut du Whistler au haut de Blackcomb Mountain. C’est une merveille d’ingénierie qui a été inaugurée cette année et qui a fait la manchette à la télévision. Le problème, c’est que Pat et Lucille ne se sentent pas bien à l’aise dans les hauteurs! Et par-dessus le marché, le téléphérique qu’elles ont pris avait un plancher en verre et elles pouvaient voir, tout le long du parcours, la terre à environ 400 mètres plus bas! Une fois rendues de l’autre côté, elles ont décidé que le voyage de retour ne serait pas alléchant; alors, elles ont décide de trouver une autre façon de descendre. Pas de chance ici! Elles ont dû retourner sur téléphérique d’un Peak à l’autre Peak afin de retourner au Village Whistler. “Nous n’avons jamais regardé en bas,” Pat a dit à l’Insider. “Nous avons eu la peur de notre vie!” L’Insider ne peut pas les blâmer réellement! Heureusement, Pat et Lucille sont arrivées à temps en bas pour prendre le train du retour; elles étaient de retour à l’aréna, dimanche matin, pour voir leurs filles remporter la victoire sur les États-Unis. Il est très étonnant de voir le nombre de Canadiens qui font partie d’équipes en compétition . Par exemple, Dan Rafael de Montréal est l’entraîneur de l’équipe féminine de la Chine qui est dirigée par Bingyu Wang; c’est cette équipe qui a remporté la médaille d’or au championnat mondial de curling féminin Mount Titlis, l’an dernier, à Gangneung en Corée du sud. Dans l’équipe féminine de l’Allemagne, Mélanie Robillard  (3e) est canadienne; elle est née au Nouveau-Brunswick et a grandi à Ottawa avant de déménager en Belgique avec sa famille; son père, un ancien officier RCMP, a accepté un poste avec NATO. Elle peut jouer pour l’Allemagne parce que sa mère est née là. Un des entraîneurs de l’équipe japonaise Moe Meguro est Fuji Miki de Vancouver; Fuji a déjà participé au Brier en 1979; son garçon Bryan a gagné le Brier et le championnat mondial en 2000 jouant 2e pour Greg McAulay. Il y a quelques femmes avec des affinités canadiennes dans l’équipe américaine. La capitaine, Debbie McCormick, est née à Saskatoon et son père et entraîneur, Wally Henry, est né à Portage la Prairie, Manitoba. De plus, l’entraîneur en chef des États-Unis, Rodger Schmidt, a joué dans le Brier en 1978 comme 1er pour Rick Folk, mais a aussi joué dans deux championnats mondiaux de curling masculin pour l’Allemagne; il a mené ce pays à la médaille d’argent en 1987 à B.C. Place Stadium ici à Vancouver lorsque son équipe s’est inclinée en finale face à Russ Howard. La carrière d’entraîneur de Rodger l’a mené un peu partout! Maintenant, il travaille pour les États-Unis (il demeure en Suisse), mais, il également été entraîneur dans la République Tchèque, en Italie et en Autriche avant d’avoir décroché son présent emploi. Demain, je vous parlerai des affinités de Canadiens avec les équipes masculines qui jouent au Centre olympique de Vancouver. Entre-temps, ayez de l’agrément à regarder le curling! Nous sommes tout près de la ronde des médailles et ça devient excitant!